Stéphane Bern n’a pas mâché ses mots pour exprimer son opposition à l’installation de six vitraux contemporains qui devraient être installés sur une façade de Notre-Dame de Paris comme l’a proposé Emmanuel Macron. Dans un entretien accordé à Ouest-France, samedi 28 décembre, l’historien et animateur a fait part de sa volonté de s’y opposer « avec l’aval de la ministre de la Culture » afin de mener des recours contre le projet.
« Je n’ai rien contre les vitraux contemporains. Il y en a à la cathédrale de Chartres et j’ai participé à la collecte. Mais je leur suis favorable quand les anciens sont détruits ou détériorés. On ne peut pas enlever des vitraux classés Monument historique », souligne Stéphane Bern. « Pourquoi l’État s’affranchit-il des règles qu’il impose aux autres ? Juste parce que le président le veut ? », s’enquiert-il.
In addition, the Heritage defender declares a reorientation of the 4 million euros for the allocation opposed to the recovery of other elements of the cathedral or the creation of a “Ovre Museum”. “The major money is used than in fresh stained glass windows in the position of Viollet-Lle. But hey, this is a desire of the president. So what the president wants, Deuu Le Weut, I have the impression!”